Présentation de fifa 12

Nouvel épisode du célèbre jeu de football d'Electronic Arts, qui pour l'occasion se dote d'un tout nouveau moteur d'animation des personnages.L'impact Engine permet des contacts entre joueurs calculés dans le détail et en temps réel, pour un réalisme accru. Les dribbles de précisions permettent aux joueurs les plus techniques de louvoyer avec plus d'aisance balle au pied, même dans les plus petits espaces. Enfin le jeu défensif se trouve affiné par des marquages nécessitant un meilleur timing.


"Plutôt que de se reposer sur leurs lauriers et d’apporter les traditionnelles modifications annuelles à leur bébé, les développeurs d’EA Sports Vancouver n’ont pas hésité à démonter toute la machine pour ensuite mieux la réassembler à l’aide d’un nouveau moteur de jeu. Le résultat est tout à fait surprenant et même les plus blasés risquent fort de se retrouver sur le derrière face aux prouesses techniques inédites apportées par Impact Engine. Sur le terrain, cela se vérifie ainsi dans plusieurs domaines…

D’abord, la défense se fait plus tactique avec notamment une interception de balle plus réaliste qu’auparavant, dans la mesure où c’est au moment précis où on appuie sur la touche que le joueur va tendre la jambe pour tenter de subtiliser le ballon à l’attaquant. Il est donc nécessaire de faire preuve d’une certaine clairvoyance pour anticiper le déplacement adverse. De même, une défense à distance a été ajoutée. Concrètement, en maintenant une touche appuyée et en lâchant le joystick gauche servant à diriger sa course, le joueur que vous contrôlez restera à distance du porteur du ballon (une distance plus ou moins grande selon le moment où vous avez appuyé sur le bouton) afin simplement de gêner sa progression sans risquer de faire faute. Vous pouvez ainsi sans problème traverser la largeur du terrain, votre joueur se déplaçant quasi latéralement pour suivre sa cible. Etonnant ! Du côté des passes, on remarque aisément que le hasard n’a plus sa place dans le jeu. Terminé les passes à la petite semaine où le ballon allait se coller quasi automatiquement dans les pieds de votre coéquipier ! Place aujourd’hui à une maniabilité plus exigeante qui oblige à orienter correctement, voire même à anticiper, ses passes (même si vous avez choisi la configuration « passes assistées ») pour que le ballon circule de façon fluide entre attaquants.

Même chose pour les dribbles : la précision est de rigueur avec le True Precision Dribbling qui permet, grâce à des orientations subtiles du joystick gauche, d’effectuer des petites touches de balle, de changer de pied et de réaliser des crochets courts rendant les interventions adverses encore plus délicates. Et nul doute que quelques nouveaux dribbles feront leur apparition ! Nous en avons d'ailleurs déjà vu un, calqué sur l'un des gestes techniques favoris du Brésilien Romario qui embarquait la balle en la caressant de l'intérieur du pied comme le ferait un chat avec une pelote de laine. Dévastateur !

Précision et réalisme semblent se conjuguer à nouveau magistralement dans le domaine des collisions entre joueurs. Oubliés les joueurs qui passent au travers de leurs adversaires, les contacts durant lesquels on pouvait voir un bras transpercer un torse... Les collisions s’effectuent désormais quasiment au frame près. Il suffit d’ailleurs de visionner le ralenti et de se rapprocher au plus près de l’action avec la caméra pour s’en convaincre. Ainsi, si vous touchez un joueur adverse à la cheville, celui-ci va s’écrouler en se tenant celle-ci. De même, si vous arrivez trop vite face au porteur du ballon, les crampons en avant, ce dernier peut faire un véritable soleil et c’est le carton jaune quasi assuré. Aussi incroyable que cela puisse paraître, chaque point de contact entre deux joueurs peut être géré différemment pour un nombre infini de résultats. Si bien que les blessures se révèlent non seulement ultra réalistes mais aussi extrêmement variables. De plus, il est possible de se blesser par abus ou inadvertance. Un joueur qui freine trop vite au bout d’une longue course pourra par exemple désormais se faire un claquage. Un joueur trop utilisé durant la partie pourra hypothétiquement se blesser en fin de match. Gare donc à bien gérer son équipe et ne pas abuser de ses forces vives, et notamment des joueurs montrant des signes de fatigue avec lesquels vous pourriez avoir envie de continuer à jouer. Cela pourrait bien leur valoir une blessure et les mettre hors service pour plusieurs matches, voir une saison complète…

Si FIFA 12 paraît aujourd’hui si révolutionnaire, c’est aussi grâce une donnée capitale nommée Intelligence Pro. Grosso modo, il s’agit d’un système symbolisant la lucidité des joueurs. Les développeurs ont voulu que ces derniers soient dotés de la faculté à comprendre ce qui se passe autour d’eux sur le terrain. En fonction de leur propre bagage technique mais aussi des forces et faiblesses de leurs coéquipiers, les joueurs se retrouvent ainsi aptes à prendre des décisions : si leur attaquant est Peter Crouch (une grande gigue dépassant le double-mètre), ils l'abreuveront de ballons aériens, mais s'il s'agit de David Villa (beaucoup plus petit mais très vif), alors ils préfèreront le servir dans les pieds ou dans la profondeur. Évidemment, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, et certains joueurs mettront moins de temps à réagir que d’autres, comme par exemple l’espagnol surdoué Fabregas. Encore une fois, le réalisme absolu semble être au cœur des préoccupations des développeurs. D’ailleurs, sur cette lignée, d’autres ajouts ou améliorations ont vu le jour dans cette version. Comme une meilleure IA réservée aux arbitres qui semblent capables de surveiller davantage les exactions des joueurs sur le terrain. Ou encore des remises en jeu rapides (sur les touches comme sur les coups francs), pour profiter d'un mauvais repli des défenseurs adverses ! Au final, il ne fait aucun doute que FIFA 12 s’annonce tout bonnement extraordinaire, tout en réservant encore un nombre incalculable de jolies surprises…"


EA Sports n'en finit plus de multiplier les communiqués et de détailler d'autres nouveautés de son prochain FIFA. Ce coup-ci, c'est au tour du management d'annoncer sa révolution.
Ceci est notre troisième preview de FIFA12, en à peine un mois et demi. C'est dire si EA Sports a des choses à dire à propos de son prochain jeu de football. Cette nouvelle présentation du jeu nous a permis de visualiser un peu tout le contenu de gestion de club et les nouveautés qui le caractérisent, mais c'est également l'occasion pour nous de vous parler des nouveautés communautaires du titre. Bien évidemment, nous avons terminé cette séance par plusieurs matchs sur la dernière version en date du jeu afin de visualiser ce qui peut éventuellement clocher à trois mois de la sortie du jeu.

Aujourd'hui, après le jeu en ligne, le mode le plus joué en solo dans un jeu de football est le mode dans lequel on incarne un entraîneur pour emmener vers les sommets le club de son choix. Le mode Manager de FIFA11 proposait une expérience relativement complète, mais monotone et bourrée de petits défauts. FIFA12 veut corriger cet état de fait en ajoutant de nombreux paramètres comme le moral des joueurs et l'état de forme physique (à ne pas confondre avec la fatigue, déjà présente). Le classement du club influe sur le mental de notre effectif et, ainsi, on peut facilement se construire un cercle vertueux de victoires facilitées par une confiance en béton armé (Lyon en 2002-2008). A l'inverse, les joueurs peuvent également plonger dans le doute et perdre tous leurs moyens (Bordeaux en 2010).

Jouer les tacticiens en fonction des aléas du foot, voilà ce qui compte dans FIFA12. Y compris avec la gestion de l'infirmerie, où les blessures sont détaillées (fracture du tibia, foulure de cheville, etc.) et où l'on peut organiser les séances personnalisées de remise en forme du joueur blessé. La période clé des transferts bénificie elle aussi d'un petit lifting et se voit débarrassée de certaines lourdeurs agaçantes : les menus sont bien plus clairs (interface de proposition et de décision revue). De plus, si l'on valide malgré tout un choix par erreur, on peut - enfin ! - revenir dessus. Les développeurs ont également ajouté le Deadline Day : le dernier jour du mercato, où tout va très vite en se finalisant dans l'urgence, est jouable heure par heure jusqu'à la clôture définitive du marché.


FIFA12 hérite de la plupart de ses caractéristiques communautaires et de jeu en ligne directement de FIFA11, sans gros chamboulement. Le site www.easportsfootball.com va faire peau neuve pour ceux qui veulent également gérer le contenu de leur jeu sur le web -joueur et équipes créées - ou encore qui souhaitent contrôler leurs statistiques de jeu toutes parties confondues. D'ailleurs, le nouveau système de calcul et d'analyse de résultats génère une réputation, un « statut d'envergure à bâtir tout au long de la saison » selon EA Sports. Aucune communication précise n'a été faite pour le moment sur l'Ultimate Team. Il semblerait que la copie soit conforme sur ce point. La grosse nouveauté communautaire de ce FIFA, c'est le mode « Supporte ton club ».


Supporter son équipe, en quoi ça consiste ? FIFA12 regroupe les scores des joueurs rejoignant ce mode dans une sorte de championnat géant où toutes les victoires, tous les matchs nuls et toutes les défaites sont prises en compte, en fonction du classement réel des clubs. Ainsi, si les supporters d'une petite équipe arrivent majoritairement à mettre à genoux ceux d'une formation bien plus cotée, ils remporteront plus de points (enfin, pour que l'ETG batte l'OL, ce n'est pas gagné ; même dans le monde virtuel). Régulièrement, les promotions et les relégations sont assurées par les serveurs afin de pimenter la chose d'une tension que subissent chaque année les supporters de tout bord. Une façon ludique de s'affronter, bien plus intelligente que se mettre sur la tronche en marge d'une rencontre.

Parlons gameplay. Je ne vais pas redire ce qui a déjà été détaillé par Benoît (le jeu offensif est un régal de fluidité et le jeu défensif est un Fort Alamo qu'il faut apprendre à bâtir). Je vais surtout pointer les incohérences générées par le nouveau moteur de collision. Il n'est pas rare de voir des joueurs s'empiler horizontalement par paquets de quatre, cinq ou même six, parce qu'ils veulent absolument jouer un ballon entre deux protagonistes déjà à terre. L'arbitre, en l'état actuel des choses, n'est vraiment pas à la hauteur : au-delà de l'incapacité de prises de décisions cohérentes (des attentats sans coup de sifflet et des touchettes qui se finissent à la biscotte), il s'est même montré capable de signaler un penalty alors que la prétendue faute - un contact inexistant - a lieu à cinq mètres de la surface de réparation.


S'il est fort probable que ces désagréments soient à mettre sur le compte d'ajustements encore en cours (l'I.A. de l'homme en noir - celle de FIFA11 ? - étant incapable de s'adapter aux nouveaux paramètres de collisions, il lui faut donc une update), il ne faudrait pas que l'évolution majeure du titre soit source de nouveaux désagréments. Il en va de même pour le mode Manager. S'il est toujours appréciable de bénéficier d'améliorations, aujourd'hui les joueurs attendent majoritairement un titre permettant une gestion complète, façon LFP Manager, dans lequel les matchs sont jouables qualitativement. Parce que finalement, ce n'est pas en nommant les blessures (surtout qu'un joueur avec la hanche fracturée arrive à sortir du terrain de lui-même, en boitant) qu'un bond en avant s'effectue.


Il y a deux mois Electronic Arts nous présentait Fifa 12 en quelques vidéos commentées, et nous faisait part de ses intentions, principalement : nettoyer les séquences de jeu du parasitage des scripts automatisés, et rendre le secteur défensif plus intéressant que l'année précédente. Comme chaque année, l’équipe de développement a soigneusement pris note de ce qui a le plus gêné les joueurs, et tenté d’améliorer sa copie. Notre première preview détaillait les ajouts promis par les développeurs à commencer par le Player Impact Engine, le moteur physique refondu pour l’occasion, qui donnait lieu à de jolies collisions sur les replays au ralenti. Nous vous parlions également du dribble de précision qui devait permettre de développer un jeu stratégique jusque là impossible dans les jeux de foot. Tous ces éléments feront-ils vraiment la différence manette en main ? Voici nos impressions sur une version jouable lors d'une session preview à Paris.


Les premières images de l’Impact Engine montrées par EA promettaient des collisions vraiment convaincantes, promesse que notre session de jeu nous a confirmée : les situations se déroulent généralement de manière plus précise et plus fluide, et sont comme purifiées de leurs scories de « jeu vidéo » pour se rapprocher de l’image d’un match télévisé. En cours de partie, ces améliorations ne sont certes pas aussi frappantes que lors des ralentis de la présentation, mais elles assainissent notablement les animations de tous leurs scripts mécaniques, conférant à l’action une réactivité et une justesse que l’on ne connaissait pas aux jeux de foot.


Lors de nos premiers matches, c’est le nouveau système de défense qui nous a le plus surpris. Loin de FIFA 11 et de ses scripts automatisés par simple pression sur la touche « pressing » , la défense se fonde désormais sur deux nouveaux facteurs qui correspondent également à deux moments clés : le positionnement à distance, et le timing de l’intervention en elle-même. Premier moment : notre joueur se place désormais en couverture de zone plutôt que de foncer en mode « missile-téléguidé » vers le possesseur du ballon.

Se calant « au large de l’attaquant », à une distance qu’il est possible de régler par les touches directionnelles, notre footballeur se tient prêt à agir. Intervient alors l’élément de timing, requérant de la part du joueur une réelle implication dans son match. Pour réussir une interception, il faut en effet apprendre à balancer un tacle, une jambe ou une charge au moment opportun : on guette alors les moindres passes ratées ou fléchissements dans la conduite de balle dans une attente tendue, sous peine de voir son bout de terrain englouti par les dribbles de l’attaque à la moindre erreur.

Les habitués de la version précédente devront obligatoirement perdre leurs vieux réflexes : une défense en mode passif (à la FIFA 11) n’aboutira à aucun résultat et risquera de trouer complètement votre dispositif. Globalement, le secteur défensif devient tout simplement plus difficile à maîtriser puisque le joueur doit composer l’action de son joueur (placement puis intervention) dans le détail, sans aucune assistance de la part du jeu. Les décisions défensives deviennent donc capitales et les erreurs de placement se paieront directement sur le terrain. Au final, ce nouveau système demandera certainement un temps d’adaptation ; mais il nous a en tout état de cause paru vraiment intéressant, aussi bien ludiquement que visuellement. A n’en pas douter en effet, la refonte du système bénéficiera également au réalisme visuel des confrontations. Finis les agglutinements défensifs surréalistes autour de l’attaquant ; les nouvelles attitudes adoptées en couverture de zone font ressembler les duels à ceux d’un vrai match.


Sur l’autre versant, l’attaque a été révisée de manière significative avec l’ajout des dribbles de précision. Ce nouveau système complique d’autant plus la tâche du défenseur qui peinera à stopper les offensives bien menées. Auparavant, les conduites de balle mal dégrossies rendaient l’attaque particulièrement délicate, permettant aux défenseurs endormis sur leur touche « X » de capter la balle sans effort. Ces séquences ne sont plus d’actualité grâce à la possibilité de contrôler son ballon par petites touches.

Plus besoin d’être agile et de maîtriser parfaitement le système de dribble pour passer ; il suffira simplement de doser les touches de balle de son joueur pour créer de belles actions. Le système de défense « en mode manuel » y est aussi pour quelque chose, puisqu’il installe par défaut une distance entre le défenseur et l’attaquant, créant une nouvelle zone de jeu exploitable. Les quelques parties que nous avons disputées ne contredisaient pas les promesses stratégiques de ces ajustements du gameplay ; ce nouveau système permet aux joueurs moins agiles d’avoir une chance face aux PGM, en valorisant la dimension stratégique de l’attaque au dépend du pur réflexe et de la vitesse.

Pas d’amélioration notoire concernant la physique des balles ou le punch des frappes à mi distance ; il faudra attendre la version finale pour se prononcer sur ces points dans le détail. Si l’on n’a pas été vraiment frappé par les améliorations graphiques des effets de contraste de lumière, on notera tout de même que la modélisation des visages semble être en net progrès. Concernant l’I.A., nos quelques partie en versus ne nous ont pas permis de nous rendre compte des améliorations du champ de vision des joueurs et de leur capacité à s’ajuster aux forces et faiblesses de leurs co-équipiers. Il faudra enfin guetter les informations concernant les modes de jeu et les éventuels changements du mode en ligne, sur lesquels rien n’a encore filtré. Pour l’heure, on peut déjà se réjouir que ce nouveau cru promettent suffisament de changements judicieux pour enthousiasmer même les plus habitués des jeux de foot.


Auréolée de son statut de licence sportive la plus vendue au monde, la série FIFA est plus que jamais attendue au tournant avec ce Fifa 12 prévu pour l’automne prochain. Le nouvel épisode apportera-t-il suffisamment de nouveautés pour se justifier un an à peine après un Fifa 11 considéré par beaucoup comme le jeu de foot le plus abouti de l’ère des consoles HD ? Electronic Arts nous a invités à Vancouver pour nous en convaincre, en nous présentant les grandes nouveautés de son titre à venir.

Loin de se reposer sur ses lauriers, l’équipe de développement entend traiter les lacunes les plus évidentes de la précédente itération, à commencer par le système de défense, jugé trop passif l’an passé. Pour pallier à ce problème, EA promet un système nettement plus gratifiant basé sur de nouvelles mécaniques de gameplay. Abandonné le système de pressing basé sur la pression d’une simple touche, on disposera désormais d’une touche qui installera entre notre défenseur et l’attaquant une distance que l'on pourra moduler avec le stick droit. Plutôt que de coller à l’action, le joueur se retrouvera ainsi aux aguets, dans l’attente du meilleur moment pour lancer son tacle ou intercepter le ballon. Le système de défense devrait y gagner en stratégie et en intensité, au point même qu’Electronic Arts promet un jeu défensif aussi passionnant que le jeu offensif, où la notion de timing devient capitale.

Autre vieille breloque du gameplay jamais modifiée jusque là, les dribbles pourront se jouer plus en finesse et sur un périmètre restreint grâce au nouveau système appelé Precision Dribbling. Avant toute chose, il permettra de dribbler dans une "résolution" et sur un espace plus petits pour plus de précision. Avec ce contrôle accru de la balle, le joueur devrait en théorie pouvoir se montrer plus créatif et enchainer des actions d'une minutie encore inédite dans un jeu de foot. Idéalement, on pourra se faufiler dans des trous de souris ou tenir balle au pied en cas d’offensive maîtrisée par de bonnes touches de balles. Autre élément intéressant mis à sa disposition : la possibilité de changer son rythme de jeu (en plus de la vitesse de course), qui permettra de partir à la Messi dans des cavalcades héroïques à l’assaut des murs de la défense, en créant des sautes de rythmes qui pourront surprendre l’adversaire.

Comme chaque année, l’Intelligence Artificielle sera également revue à la hausse, dans l'objectif de pousser un peu plus loin la singularité du comportement et des capacités de chaque footballeur. Concrètement, le champ de vision devrait être impacté par la capacité du joueur à se souvenir de ce qu'il a vu et enregistré précédemment. A la suite d'un rapide coup d’œil dans le dos, tout un angle mort pourra ainsi être mémorisé par les meilleurs joueurs, leur permettant de créer des options de jeu au delà des choix les plus évidents. Les maîtres tacticiens que sont Xavi, Fabregas ou Ozil devraient pouvoir réaliser des passes décisives de génie, chose qui n'était pas possible dans le précédent Fifa. Autre amélioration promise, l'I.A. jouera sur les forces spécifiques de chaque joueur. Les développeurs notaient pour exemple qu'un grand footballeur habile de la tête serait régulièrement servi en ballons hauts. Reste à vérifier que ces promesses se constatent réellement en cours de partie.


Légèrement en retrait, les améliorations graphiques ne devraient rien proposer de révolutionnaire et se borneront à des chantiers modestes comme la réfection de l'interface des menus et de l'habillage des matchs que l'on nous a promis plus modernes. Flirtant avec l'anecdotique, les légers progrès sur la restitution des contrastes lumineux ne créera pas de différence notoire avec Fifa 11. L'équipe a par ailleurs modélisé de nouveaux stades au gré des licences, mais le plus gros du travail de l'équipe graphique concerne sans aucun doute la modélisation des joueurs, en net progrès. En guise d'exemple on a pu voir le modèle du footballeur Gael Clichy en mode "avant" / "après", pour un résultat réellement convaincant et nettement plus ressemblant. On espère juste que cette amélioration notoire touchera un nombre conséquent de joueur, pour que le résultat soit réellement sensible à l'écran.


Mais la plus importante des modifications reste le moteur physique. On nous l'a suffisamment rappelé, l’Impact Engine, comme il se nomme, serait le plus gros changement opéré sur la série depuis sa transition vers les consoles HD. A la place des scripts qui résolvaient les collisions de manière un peu grossière dans le passé, l’Impact Engine serait capable de calculer l’évènement véritable de la collision dans le détail. Équivalent à la localisation des dégâts du genre FPS appliquée au foot, ce moteur pourrait occasionner de vrais changements : l’anatomie complète des joueurs est désormais prise en compte dans le calcul de l’évènement, résolu grâce aux informations sur le point d’impact et les forces en présence. Un tacle vient stopper la course d’un joueur ? Le moteur est capable de dire si le pied de l’attaquant se libère et si la course continue, ou si l’attaquant doit chuter. La seule règle derrière tout cela, ce sont les rigoureuses lois physiques du moteur.

Dans l'idée, les situations de contact pourraient devenir l'occasion d'une lutte acharnée où chaque accrochage de maillot peut basculer à la faveur du plus agressif. A l’arrivée, les joueurs se blesseront même de façon réaliste puisque les points principaux de leur anatomie seront touchés séparément selon le point d’impact et la force exercée. Un coup à la jambe occasionnera une blessure localisée avec son délai de guérison spécifique, dont il faudra tenir compte par la suite. Attention par exemple à ne pas envoyer un joueur fraichement remis d'une blessure à la jambe sur un poste assailli par les tacles; un nouvel assaut mal placé, et la petite faiblesse musculaire pourra se muer en blessure plus grave encore.

Vous l'aurez compris, l’avantage de ce nouveau moteur physique promet de belles améliorations : outre la variété potentiellement infinie des situations de jeu, il offre de résoudre les bugs de collisions et autres glitches maladroits des précédents épisodes. Finis les bras dans les têtes ou les collisions chelou qui semblaient défier les lois de la physique en avantageant systématiquement l’adversaire (mauvaise foi oblige !). Dorénavant, chaque évènement visuel sera un évènement réel, net et sans bavure, basé sur une physique réaliste. Ce fameux réalisme, en ligne de mire depuis toujours pour la série, devrait pour le coup franchir un cap, même si, on insiste, rien ne remplacera un essai prolongé de ce nouveau Fifa pour vérifier si les beaux discours d'EA reflètent bien la réalité.

Pas de nouvelles par contre des différents modes présents dans le jeu, ni des éventuels nouveaux championnats licenciés. Si, d'après les développeurs, les retours de la communauté étaient plutôt positifs sur le mode gardien, on n'a pas eu d'infos particulières sur ce que le mode deviendrait dans Fifa 12. D'une manière générale Electronic Arts s'est montré radin en infos sur tous ces points pour en garder sous le coude, probablement pour l'E3 prochain.

En tout état de cause, on reste impressionné par la capacité de l’équipe à implémenter juste assez de fonctionnalités excitantes pour rendre leur prochain Fifa désirable. En misant sur son nouveau moteur physique plein de promesses sans oublier de faire évoluer son gameplay par petites touches bien senties, EA parvient à faire flotter le doux parfum d'une vraie nouveauté sur Fifa 12; une nouveauté dont il nous tarde de mesurer la portée, manette en main. On vous en reparle d'ailleurs assez vite puisqu’EA nous a proposé de l'essayer très prochainement.


Je finis enfin ma présentation sur l'avis du champion de France et donc il nous reste plus que quelques mois pour enfin pouvoir jouer à ce titre qui s'annonce encore une fois bien au dessus de son concurrent direct...

(Source:jeuxvideo.com et jeuxvideo.fr)

Belle présentation, trop hate!!

Par contre il va falloir se faire des matchs en équipe aussi sur ce jeu!

Belle présentation.

Il faudrait synthétiser toutes les données pour mettre ça à notre sauce. Avec par exemple un tableau avec le positif et le négatif, le niveau d'attente de la team après un vote, les nouveautés etc…

tré bonne presentation pour ce jeu,
je ne suis pas trop foot mai il me tente bien dommage qu'il sorte peu avant battlefield 3

Il est vraiment trop puissant Fifa 12 franchement!

Au top ce jeu il me tarde que mon pro soit au niveau 88

Jet-setteur a écrit:Au top ce jeu il me tarde que mon pro soit au niveau 88

C'est pas près d'arriver moi

je te rassures David je suis toujours au même niveau depuis que l'on a jouait ensemble

Hello.
J'ai vraiment un gros probleme. Mon Pass online a expiré alors que j'ai acheté mon jeux neuf !!
je ne sais pas si je doi envoyé un message a EA avec la preuve de l'achat, mon pass pour qu'il verifie qu'il est expiré.
Parce que j'ai acheté le jeux au canada mais ça n'a aucun rapport. Le Pass online n'est pas "zoné" si ?!
Merci !

Tu la acheter sur le net ou dans un magasin?
Essaye de contacter EA par mail ses bizarre ton histoire quand ta reçus la boite il avait toujours le blister?

Sur internet sur VG+
Oui reçu sous blister etc...
ça m'a fait un choc quand j'ai vu "incorrect ou a expiré"
de toute façon j'ai jamais de chance avec ces truc a la con.
J'aime pas ce systeme si il était au point, mais en plus il est pas au point. On peu plus jouer tranquille maintenant !

Sa marche j'ai eu le même problème essai le mode en ligne tu verras..et n'oublie pas d'accepter ma demande d'ami.....

J'ai fait mode de jeu en ligne et il me demande de rentré le pass et ça marche toujours pas !

Je vais voir si y a une solution a ton problème, s'il y a pas. Tu contact ton site part mail en disant que le code passe et erronée. (Tu mais une photo de l'erreur pour preuve.) Ou sinon a EA en mettant une photo de t'a commande du site VG+, avec la preuve de l'erreur.) Sa devrai être bon.

Bon apparemment ses un problème déjà connu de Fifa 11, ses fou sa il l'on pas encore régler.

Salut à tous,

Suite à quelques retours que nous avons eu, voici la démarche pour faire fonctionner les Pass Online qui ne sont pas validés lors de la première tentative :


1. Entrez votre code Pass Online.
2. Un message d'erreur apparait. Notez que ce message est différent de celui qui est affiché quand le code est véritablement invalide.
3. Le jeu demande toujours un code Pass Online.
4. Redémarrer le jeu, soit en éteignant et rallumant la console, soit en retournant sur le Dashboard et en relançant le jeu.
5. Essayer de disputer un match en Partie Rapide avec Classements.
6. Le jeu vous dit que le code Pass Online existe mais qu'il doit être retéléchargé.
7. Retéléchargez le Pass.
8. Le Pass Online fonctionne.


N'oubliez pas que chaque personne qui achète le jeu neuf dans le commerce dispose d'un code Pass Online. Vous le trouverez dans votre boîte de jeu !

N'hésitez pas à réagir pour nous faire part de votre problème ou si vous avez trouvé une solution alternative.

Mise à jour du 18/10 :

Pour ceux chez qui le Pass Online est désactivé à chaque allumage de console :

- Activez la connexion automatique à votre profil / internet
- Redémarrez la console
- Re-téléchargez le Pass Online comme demandé par le jeu
- Normalement ça devrait fonctionner

Ok merci ça me parait un peu "bricolé" mais je vais essayé !

Cette solution fonctionne apparemment sur Fifa 11 (que j'ai mi plus haut). Tu peut toujours essayer sur Fifa 12 sa devrai le faire.

J'avais pas vu t'as réponse ^^ Merci j'ai modifier mon message !

Bon ben ça ne marche toujours pas !
ça fait chier je vais envoyé un mail a EA je crois que c'est le mieu a faire !

Merde, tu me fait flipper avec ton histoire.

Villa48 a écrit:Sur internet sur VG+
Oui reçu sous blister etc...
ça m'a fait un choc quand j'ai vu "incorrect ou a expiré"
de toute façon j'ai jamais de chance avec ces truc a la con.
J'aime pas ce systeme si il était au point, mais en plus il est pas au point. On peu plus jouer tranquille maintenant !

Kevin désolé je viens seulement de lire tout ça, et j'ai une mauvaise nouvelle pour toi...tu as acheté ton jeu au canada donc US, ce qui fait que ton pass online ne peut être activé que sur un compte US ou Canadien et non Français...

Par exemple j'ai un compte canadien pour mon jeu Rock band 3 (acheté sur vg+) pour acheter mes DLC en $ sauf que je doit acheter une psn card canadienne sur VG+ comme toi pour pouvoir les acheter, j'ai déja essayé d'acheter une musique sur le store FR pour un jeu US et...carotte de 2 euros

Tu aurai du l'acheter en france car tu pourra jamais jouer en ligne avec nous du coup...

Attend essai voir de rentrer ton code sur ton compte US (si t'en a un) ça devrai marcher et tu pourra jouer avec nous mais avec ton compte US et non FR

Tiens au courant!

Rah c'est bien ce que je pensé.
Je savais que les DLC était zoné, mais je savais pas que me âss online l'était aussi.

Fait chier ^^
j'ai une deuxieme adresse US, je vous donnerai mon IDPSN (je le connais pas)